Sur patte(s)

“Sur pattes” = vivant(s). Les poules, bœufs, cabris ou moutons vendus “sur pattes” sont ce que les anglophones pourraient appeler “alive and kicking”.
 
 
 
“Vend[s] boucs et taureaux sur patte. Tel. 763-7321 / 418-5504”
(Petite annonce dans L’Express.)
 
 
 

Ferme Zébu Ltée
Royal Road, Bambous
Tel: 252-7134/35

A Vendre Bouc et Mouton sur pattes

 
 
 
Notre correspondant Gro Zippo nous a fait parvenir la photo suivante qu’il avait lui-même reçue d’un membre de sa famille amusé par ce qui était écrit sur ce van :

Boucher de viande frais
Motalib Jafferbeg
948 2912
770 6639
760 2661

Bouc, Mouton, Agneau, Cabri, Cerf & Poulet
Pour:
Marriages, Anniversaire, Fiancai[]es, Hakeekah, Etc..

Aussi Disponible Sur Patte

 
 
 

DIVERS
A VENDRE

0387292 Bouc sur patte. Tel. 975-5596, 913-3451.
(…)
0388555 A vendre 2 canards manille sur pattes. Rs 500 unité. Tel. 790-1027

(Petites annonces dans L’Express du 31 décembre 2010.)

 
 
 

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Mise à jour du 13 novembre 2012 :

La coopérative Cattle Gold Farmers Society et un boucher de la capitale ont finalement obtenu le permis auprès des autorités pour importer des bœufs sur pattes en provenance de l’Australie.”
(Le Défi, 18 septembre 2012.)

 

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Mise à jour du 22 mars 2015 :

Rs 139,50 le kilo. C’était le prix du bétail, en 2014, pour la fête Eid-Ul-Adha. Et cette année, le gouvernement souhaite que ce prix soit encore plus faible. Mieux encore, il veut mettre un frein aux abus sur le prix de vente du bétail sur pattes pour les fêtes de fin d’année.”
(L’Express, 19 mars 2015.)

Vente_betail_sur_pattes--L'Express--19_mars_2015

35 réponses à “Sur patte(s)

  1. lorraine lagesse

    TROP TOP….Moi je reléve ceci dans » » » divers a vendre… » ».
    Canard manille….
    Je croyais que c était Canard Manie..car j entendais toujours dire… »to comme éne canard manie avec to manie «  » Bien sure que canard manie vient de manille..mais je ne l avais jamais vu écrit ainsi…
    «  »Aussi disponible sur pattes » » » veut dire «  »VIVANT «  » car si on coupe les pattes , ils ne le sont plus…

  2. Siganus Sutor

    Ben disons qu’ils pourraient être des canards culs-de-jatte, au pire. Ce qui est bien pire qu’un canard à trois pattes.

    Pour les canards manille(s), voir ici :

    Canard Manille

  3. Divers, ce sont les choses diverses à vendre, dont les animaux « sur patte ».
    @Siganus, y-a-t-il un terme Kreol pour dire « sous la mère »? J’ai découvert cette expression il n’y a pas longtemps. On vend ici, des veaux sous la mère. Le veau sous la mère est un veau qui n’est pas encore sevré et qui tête deux fois par jour. Il est élevé pour sa chair tendre.

  4. >Siganus K. Sutor
    Je vous ai déjà raconté que chez nous c’est possible un canard avec trois pattes: le mot espagnol « pata » est employé pour la patte et pour la femelle du « pato » (canard). Pourtant, parfois nous cherchons trois pattes au chat.

  5. Jesús, on dit parfois que ça ne casse pas trois pattes à un canard, mais qu’est-ce que « chercher trois pattes au chat » ?

  6. Bueno, bueno…Jesús !?
    Je ne sais mais vos pattes me gênent, ya que digo buscar 5 patas al gato, quand vous n’en cherchez que trois !!!
    Zebi, chercher cinq pattes à ce diable de chat peut se traduire par couper les cheveux en quatre, se compliquer la vie.

  7. >Arcadius
    Il semble que nous deux avons raison. J’ai pensé au « Quichotte » et voilà ce que je viens de trouver :
    http://www.fundacionlengua.com/es/buscarle-tres-pies-al-gato/art/180/

  8. La locution française correspondante, utilisée en élevage comme en boucherie, est « sur pied ». On dira « acheter de la viande sur pied » pour dire « acheter des bêtes de boucherie encore vivantes ». La même locution est utilisée en agriculture : on peut vendre par exemple des tomates « sur pied ».
    La locution martienne « sur pattes » ne permet pas ce double sens: on voit bien là l’incommensurable supériorité du français sur toutes les autres langues. 🙂

  9. « Ganado en pie » (bétail sur pied) est aussi employé dans quelques pays hispanophones, comme l’ami Arcadius peut nous confirmer.

  10. En France on dit « sur pied » à propos du bétail, mais je ne crois pas qu’on emploierait cette locution avec la volaille: on dirait « poulets vivants », pas « poulets sur pied » ni sur pattes, Peut-être est-ce parce que pour les transporter, les grosses bêtes marchent toutes seules, tandis qu’on ne fait pas marcher les volaiiles avec soi, il faut les porter.

    Je ne connais pas le « veau sous la mère », mais dans ma région d’élevage du cheval on lisait souvent l’expression « jument suitée », c’est-à-dire « jument suivie (= accompagnée) de son poulain ».

  11. @ Lorraine lagesse
    Ouais: c’est maintenant que je découvre pourquoi ma grand-mère dit toujours « cana-mani »…

    Par ailleurs, l’état du véhicule (ses feux surtout) donne une idée du professionalisme de nos autorités dans leur fonction de vérificateur / donneur de permis… Imaginez-vous d’être contraint de faire le même itinéraire que lui dans son sillage: pas d’indication quand il ralentit, ni s’il veut changer de direction, rien…

    Mais dernière remarque: pourquoi masquer le numéro du véhicule? Vous montrez bien le contenu de son « affiche mobile », non? Vous l’offrez même à nous pour des commentaires. Alors, je ne comprends pas du tout le pourquoi de cette censure inutile!

  12. ► Marie-Lucie:
    La « volaille sur pied » n’existe en effet pratiquement plus en Europe, où elle est transportée directement à l’abattoir sans passer par un intermédiaire qui l’achèterait vivante pour la faire abattre et la transformer (sans compter que, de plus en plus, l’abattoir est intégré à l’élevage lui-même). Mais, dans les temps anciens où des foires agricoles se tenaient encore une fois par semaine dans nos villages (disons avant les années 70), on pouvait encore acheter des volailles « sur pied ».
    Le « veau sous la mère » est une production de viande bovine particulière à certaines races de vaches à viande (Limousine, Blonde d’Aquitaine, Bbazadaise, Gasconne, Charolaise, etc.) et donc à certaines régions, particulièrement du Sud-Ouest de la France (du Limousin et du Périgord au nord jusqu’au Piémont Pyrénéen au sud, en passant par l’Auvergne à l’ouest).

  13. Leveto : acheter de la viande sur pied

    A vous lire, on pourrait croire qu’elle pousse sur les arbres, cette viande-là. (Peut-être avez-vous été influencé par les cabris du Maroc, lesquels doivent avoir un peu d’ADN de jacquot, ou de chauve-souris. Voir par exemple ici ce qu’en disait A.J.P. Crown sur son blog caprin.) Sur Mars, on vendra éventuellement des letchis sur pied, ou des longanes sur pied, mais assez peu de cabris, de moutons ou de bœufs j’en ai peur.
     
     
    Pépé, je ne connais pas de terme créole équivalent à l’expression française “élevé sous la mère”. (Le veau ne doit pas pouvoir s’élever beaucoup s’il reste toujours sous la mère.) Mais il faut préciser que je n’élève pas beaucoup de bovidés et autres quadrupèdes. J’ai seulement un mal fou avec des chiens qui sont de vraies calamités sur pattes. (Un poil plus que les enfants.)
     
     
    Jesús, je me souviens d’un livre que mes enfants avaient reçu en cadeau et dans lequel le héros était un canard à 3 pattes. C’était un champion de natation. Un de ces quatre il faudrait que je me mette à 4 pattes pour le chercher dans un fond d’armoire ou sous un lit. J’aurais pu en scanner la couverture et insérer l’image dans le billet en guise de clin d’œil.
     
     
    Torpedo, pour complèter le tableau on pourrait imaginer du sang s’écoulant du van et se répandant sur la route, ce qui pourrait faire sailler quelques motocyclettes…

    Pour ce qui est de la plaque, je ne l’ai pas masquée. C’est ainsi que j’ai reçu la photo dans mon mail box, et je me suis moi aussi demandé si on avait intentionnellement caché une partie du numéro. Mais il est possible que soit la plaque était très sale, soit il y a eu quelques interférences lors de la prise d’image (ou les deux). Si vous avez parcouru ce blog-ci, vous avez dû remarquer qu’en général je laisse les numéros d’immatriculation, les adresses et les numéros de téléphone. Personne ne s’est plaint jusqu’à l’heure.

  14. Marie-Lucie, le veau sous la mère, contrairement au poulain, ne peut pas suivre sa mère, car pour avoir droit à l’appellation, il ne doit se nourrir que de lait (et il d’ailleurs parfois besoin d’une nourrice pour compléter), il ne peut donc pas aller batifoler dans les vertes prairies même accompagné. Le but étant d’obtenir une viandre très tendre et très blanche. On pourrait l’apparenter au cochon de lait s’il était cuit entier.

  15. Leveto et Zerbinette, merci de vos précisions.

    Leveto, par « foires agricoles » toutes les semaines, vous voulez dire des marchés? Il me semble qu’une foire, c’est un évènement plus rare, non?

  16. Marie-Lucie, une foire n’est pas un évènement rare à Maurice, puisque “la foire de… (Mahébourg, Vacoas, etc.)” a lieu au moins une fois par semaine et correspond à ce qu’on appelle je crois “marché” (forain ?) en France. Le marché (permanent), quant à lui, est appelé “bazar” ici-bas, d’où le nom de “tante bazar” donné au panier servant à aller faire son marché.
     
     
    Jesús, “Vicente y el pato con tres patas”, c’était bien cela, mais en version française. Il faudrait que je le retrouve, ce livre-là. Pour ce qui est du dictionnaire portugais-anglais donnant “bangularv. wander, loiter”, cela correspond remarquablement bien à la première définition du verbe “bangoler”. Mais à la suite de ce que disait Leveto plus haut, on peut se demander si les Portugais eux-mêmes ne sont pas allés le pêcher sur la côte de l’Angola.

  17. Ah! Marie-Lucie, vous avez sans doute raison si l’on est pointilleux sur le vocabulaire. Mais chez mes grands-parents — d’un côté comme de l’autre — on disait « on va à la foire » pour parler de ce marché hebdomadaire qui mélangeait un peu tous les commerces traditionnels avec les paysans, maraîchers et éleveurs du coins . Et pour nous, petits-enfants, c’était la promesse d’une matinée ou d’une après-midi enchanteresse! On y voyait toutes sortes d’animaux, des grands comme des petits, des à poils, des à plumes, des doux à caresser, des mignons tout plein à prendre dans le creux de la main, des à ne toucher qu’avec les yeux, des beaux, des laids, des sales, des grognons, des que « attention-où-tu-marches », des que « ne-t’approche-pas » … Un enchantement, vous dis-je! Souvent la promenade, toujours trop courte, se terminait en apothéose par la dégustation d’une pomme d’amour, d’un chichi ou d’une barbe à papa et on s’en retournait alors à la maison avec un sujet de rédaction tout prêt pour la rentrée quand la maîtresse nous demanderait de raconter nos vacances. On se disputait bien un peu pour savoir qui porterait le pot de lait ou le pain chaud, on réclamait une Matchbox ou un album de Spirou — mais non: on avait déjà eu un chichi!—, bref: on traînait les pieds pour faire durer le plaisir. Mais la foire n’était pas encore tout-à-fait finie : mamé y avait acheté un poulet ou un lapin sur pieds* que mon papé, qui portait pour l’occasion un vieux tablier à fleurs de sa femme — qu’il imitait gauchement, ce qui nous faisait bien rire — que mon papé, donc, tuait d’une manière experte sur le billot au fond du jardin sous nos regards à la fois attristés et fascinés. Le sang était soigneusement récolté dans un poêlon culotté, puis cuit avec de la ventrèche, de l’ail et du persil pour un sanquet dont on se régalait avec ce sentiment précieux de vivre quelque chose que nos copains de la ville ne connaissaient pas.
    Voilà ce qu’est une foire pour moi, et tous les Salons de l’agriculture parigots-chiraquiens n’y pourront rien changer.

    * Vous voyez que je suis dans le sujet! Et pis c’est Marie-Lucie qu’a commencé!

  18. Leveto, on est bien obligé de penser que ce que vous racontez ci-dessus a dû avoir une certaine influence sur votre choix de devenir vétérinaire…

    Zerbinette, cette appellation de “veau élevé sous la mère” est donc partiellement mensongère. On pourrait sans doute poursuivre ceux qui l’utilisent. Sans compter le crime consistant à tuer des bébés têtant encore, pour les manger.

  19. >Siganus K. Sutor
    Le dico était par la prononciation du mot.

  20. In English the expression corresponding to sur pied is on the hoof, which is applied only to cattle, not poultry. GT is rendering le veau sous la mère as milk-fed veal, which is somewhat misleading at least in the U.S., where it is not usual that the milk in question be it’s mother’s milk. For that one must buy free-raised or free-range veal.

  21. Leveto, ce que vous décrivez, pour moi c’est un marché. Une foire, ça a lieu à une date précise, et on n’y vend pas de tout. Si par exemple on veut acheter (ou vendre) un porc ou une vache, ou plusieurs, on attend la ‘foire aux bestiaux » où viennent les éleveurs des environs. Si on ne trouve pas sur place ce qu’on veut, on peut aller à une foire dans une autre ville la semaine suivante. Du moins, c’est comme cela que ça se passait quand j’étais jeune.

    Mes grands-parents maternels (dans le Tarn) élevaient quelques lapins pour les manger, nous (en vacances chez eux) en mangions donc souvent, et en effet ils faisaient du « sanquet » (il y a plus de cinquante ans que je n’en ai mangé, mais j’aimais beaucoup ça).

  22. Le veau qui « tête »: le verbe, c’est téter, pas têter qui n’existe pas. Le verbe va avec téton, pas avec tête ni entêté.

    Je sais que ma prononciation est maintenant quelque peu archaïque, mais pour moi (le veau) tette (ou tète) et (la) tête ne se prononcent pas de la même façon (le premier a une voyelle brève, le deuxième une voyelle longue).

  23. Jesús
    J’arrive un peu comme les carabiniers…
    Effectivement, un ganado vendu sur pied est un animal vif, mais on n’utilise pas cette tournure pour las aves de coral (volailles).
    Ici on tient un autre langage, qui n’a de l’espagnol que l’apparence :
    una res beneficiada, un pollo beneficiado , et son contraire, vivo ou no beneficiado !
    Curieusement en ces lieux beneficiar ne doit rien au bénéfice , mais beaucoup au sacrifice, ya que beneficiar signifie : « Descuartizar y vender una res u otros animales al menudeo. » Sans parler de Cuba ou il s’agit de castrer…(logique!)

    Cuba. » Castrar a un animal para estimular su desarrollo físico ».

  24. Oui, Marie-Lucie: je suis d’accord pour le sens académique de foire à date fixe. Je voulais seulement signifier que ce mot était utilisé — en tout cas dans nos campagnes — dans un sens beaucoup plus large et désignait ce marché hebdomadaire où l’on venait exposer, en plus des volailles traditionnelles, aussi bien des cochons que des moutons ( et des béliers « ne -t’approche-pas! » ) ou même parfois des vaches. Une « foire » de ce genre se tenait tous les dimanches à Orange sur le cours Pourtoules, devenu aujourd’hui un parking ( payant, bien sûr). Conséquence : hormis les pigeons et leurs chiens et chats, les seuls animaux que les écoliers orangeois voient sur pieds sont … les crocodiles de la « Ferme aux crocodiles » de Pierrelatte qui constitue la sortie scolaire habituelle.

  25. « La vache est un animal qui a en général 4 pattes qui descendent jusqu’au sol. » Jacques Roubaud.

  26. Tout comme le dahu je suppose — quand il est “sur pattes”.

  27. Siganus Sutor

    “À l’approche de l’Eid-Ul-Adha, le gouvernement veut fixer le prix du bétail. Ainsi, le prix d’un bœuf sur pattes ne doit pas dépasser Rs 139,50 par kilo.”
    (L’Express d’aujourd’hui, 13 septembre 2014.)
    http://www.lexpress.mu/article/252317/prix-betail-fixe-pour-leid-ul-adha

  28. Aurais-tu fait un lapsus clavis en recopiant ?
    L’article indique bien Rs139,50 le kilo ;-).

  29. Siganus Sutor

    Ha ha, excellent ! L’arroseur arrosé ! — https://mauricianismes.wordpress.com/2009/09/23/par/
    Bien vu.

    Un autre mauricianisme du même tonneau, les “kilomètres par heure” au lieu des “kilomètres heure”.

  30. Je suppose que ça t’est venu naturellement d’écrire « par ». 🙂

    Ce « kilomètres heure » ferait hurler un physicien. 😉

  31. Je me demandais ce que j’aurais utilisé en tant que lipoupoul: je pense à « km à l’heure ». Mais je me disais que « km par heure » ne me choquait pas; il se trouve que Larousse la donne comme une expression valide.

  32. Siganus Sutor

    Ah ! j’ai un doute tout à coup. Comment disent donc plutôt les Français dans la conversation courante, « 50 kilomètres heure » ou « 50 kilomètres à l’heure » ?

  33. Pas la peine d’avoir de doute, ils disent en général « kilomètres-heure » (formule qui est aussi acceptée par les dictionnaires), ou rien: « je roule à 60 » ou « j’étais à 60 ».
    Mais comme je le suggérais, j’ai tendance, moi, à dire « kilomètres à l’heure » (déformation d’étudiant en physique où « kilomètres-heure » pour une vitesse serait sanctionné).
    Mais je n’hésiterai pas à écrire ou dire que la vitesse de la lumière est de 300000000 mètres par seconde, ou 300000 km par heure.
    J’aurais du mal à dire 300000000 mètres à la seconde, ou même mètres-seconde, contrairement à Newton-mètre si je m’intéresse à un couple, mais cela n’engage, encore une fois, que moi.

  34. Siganus Sutor

    A contrario, il m’est arrivé en plus d’une occasion d’entendre parler de “kilowatts par heure”, ce qui me choque encore plus que si j’entendais quelqu’un évoquer des “kilonewtons par mètre” à propos d’un moment. Pire qu’un mouton à cinq pattes, car complètement impossible, alors que les “kilonewtons par mètre”, eux, peuvent exister quand il s’agit d’une charge linéaire.

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