L’Express, 27 octobre 2011 :
“Célébrations du Divali en musique, dans la lumière et dans l’unité nationale
Les célébrations du Divali se sont poursuivies en musique et en lumière le soir du mercredi 26 octobre, dans plusieurs régions de l’île. (…)
Les villes de Quatre-Bornes et de Beau-Bassin/Rose-Hill célébraient le Divali en musique et en lumière ce mercredi 26 octobre, dans un cadre à la fois féérique et festif.”
Week-End, 26 octobre 2008 :
“Le Divali est une fête qui intervient après la saison des pluies en Inde et la fête de la lumière permet de purifier l’atmosphère et de se débarrasser des insectes nuisibles à la santé. (…)
Il y a un seul élan, une foi commune qui anime les milliers d’êtres humains qui célèbrent le Divali et aussi ceux qui ne sont pas de foi hindoue. (…)
Le Divali marque aussi le triomphe du dieu Ram sur le démon Rawan.”
Le Défi, octobre 2011 :
“Le Divali sera célébré cette année le mercredi 26 octobre prochain. Plusieurs manifestations sont prévues pour fêter dignement cet événement.
Chaque année, les indiens du monde entier célèbrent le Divali, la fête de la Lumière.”
L’Express, 17 octobre 2011.
“Toujours dans son discours teinté de mysticisme, il fait un parallèle entre le Divali et la scène politique locale, transformant Rawan — le diable — en un «meter choula» à la sauce mauricienne.”
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Le Mauricien, 26 octobre 2011 :
“Le jour de la Divali, on vénère Lukshmi, déesse de la prospérité et également le dieu Ganesha.”
Le Matinal, 1er novembre 2010 :
“Navin Unnoop souligne aussi qu’à ce moment précis, il n’était pas à l’île-aux-Cerfs mais il était en train de faire des préparatifs pour la fête de la Divali.”
L’Express, 21 octobre 2006 :
“Signifiant enchaînement de lumières, la Divali marque le triomphe de Ram sur Ravan. Celui-ci avait enlevé son épouse Sita. C’est avec l’aide de son frère Lakshman et du dieu singe Hanuman que Ram part reconquérir sa compagne. A leur retour au royaume d’Ayodhya, il faisait une nuit tellement sombre que les villageois disposèrent des lampes à huile pour que les héros retrouvent leur chemin. Fête extrêmement populaire parmi les hindous, la Divali est célébrée comme le nouvel an le jour de la pleine ou de la nouvelle lune dans le courant des mois d’octobre et de novembre.”
Le Mauricien, 17 octobre 2011 :
“Le coup d’envoi traditionnel des célébrations marquant la Divali, qui sera célébrée le 24 octobre, a été donné hier avec la politique en toile de fond à la Hindu House. Les discours des deux principaux intervenants, à savoir le président de la République sir Anerood Jugnauth et le Premier ministre Navin Ramgoolam, ont été axés sur la lumière et la victoire du bien sur le mal et n’étaient pas exempts de sous-entendus politiques.”
Marie-Thérèse Humbert, A l’autre bout de moi (1979), pages 275 & 276 :
“Par contre, elle se laissa reprendre au charme des rites païens, je la revois ce soir, ces soirs de la Divali où les Hindous célébraient la victoire de la lumière sur les ténèbres. Chaque année elle participait à la fête.”
Ḍ
Le Matinal, 27 octobre 2011 :
“Amour, partage, spiritualité sont les maîtres-mots de Divali. Cette fête de la lumière a été célébrée avec ferveur, mercredi, par la communauté mauricienne de foi hindoue à travers le pays. Divali est généralement associé à la traditionnelle lampe de terre cuite (diya) et des guirlandes lumineuses utilisées pour la décoration des maisons, bâtiments, villes et autres.”
Le Mauricien, 15 octobre 2011 :
“Le secrétaire de la Hindu House, Kalyduth Gyaram, a souligné que ‘Divali, comme la Noël*, est une fête nationale célébrée par tous les Mauriciens, quelle que soit leur foi’.”
Le Défi, octobre 2011 :
“Si Divali est incomplète sans lumières et feux d’artifice, elle est tout aussi incomplète sans ses traditionnelles sucreries. (…)
Divali est la fête qui célèbre le renouvellement, qui est un symbole de purification. (…)
Et la plupart des gâteaux distribués pendant Divali, tels que le mawa, le safarjan, le jalebi, le kanaoula ou encore le fameux « gato patate » sont des gâteaux frits ou trempés dans du sirop.”
L’Express, 24 octobre 2011.
“Navin Ramgoolam a fait une sortie contre certains «accapareurs du pouvoir, qui laissent de côté l’intérêt du pays». C’était dans un discours prononcé à Triolet dans le cadre des célébrations à l’occasion de Divali.”
Ḍ
Que Divali puisse être accordé(e) au féminin, pourquoi pas — Rabin, rédacteur en chef de L’Express Dimanche, avait donné quelques raisons pourquoi, selon lui, il était justifié de la mettre au féminin —, mais il serait sans doute temps que les journalistes se décident non seulement quant au genre mais aussi quant à la présence ou l’absence d’article dans leurs articles.
* “la Noël” plutôt que “Noël” tout court : il en avait été question là, en décembre 2010 : https://mauricianismes.wordpress.com/2010/12/25/la-noel/