bred mouroum baton mouroum
maléré kontan manzé
bred mouroum baton mouroum
maléré gaign lapéti
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Méta
batons mourougne..LI sec comma éné baton mourougues , so sévé comment batons m…En tous les cas ces batons sont pleins de fer et excellent pour l anémie…ON fait des brédes avec les feuilles et le baton épluché est mis dans les curry…Si vous avez de la forte tension (BP) ne pas en manger…Mettre du Bombli sec (en sachet de chez IBL) dans les brédes c est un délice…Salut..Lorraine
sur la photo je vois des carambole, des bilimbis, des fruits de l arbre tortue, (nonni) des avocats, est ce un marchand de légumes spécialisée dans les produits dietétiques???car tous ces légumes ont des vertues curative..
mo kontent manz brede la moi.
À la Réunion, on dit « bâton/brède mouroungue ». Ce mot, comme certains le savent, est d’origine tamoule.
Lorraine, c’est le noni (ou plutôt le nono) que vous appelez “fruit de l’arbre tortue” ? Rouillard et Guého donnent le nom de “bois tortue” ou “mûrier de Java” à l’espèce Morinda citrifolia.
Mais sur la photo, entre nonos et bâtons mouroum, on voit 4 fruits jaunes dont le nom m’échappe. Les connaissez-vous ? Ou quelqu’un ici connaîtrait-il leur nom scientifique ?
Le mot « nono » vient du tahitien alors que « noni » est d’origine hawaïenne (cf. le Dictionnaire étymologique du créole réunionnais, mots d’origine asiatique).
À la Réunion, on dit « malaye ».
Les quatre fruits jaunes sont, sauf erreur, des papayes ! De quelle variété, je ne saurais le dire.
C’est ce à quoi on a pensé ici avec mon épouse, à de petites papayes pas trop vertes;
elle m’a dit en avoir vu au bazar (des petites).
Chez nous, on prononçait le moringa oleifera « mouroung ». Il paraît que son nom français est néverdier (never die). Hmmm un bon kari dal, pwason salé, baton mouroung :-).
Khush, mo espéré ou ena enn pié mouroum dan ou lacour. Pa bizin okip li ditou ; li ki pou okip ou.
Carré de Sucre, le mot vient du tamoul, effectivement (murunkai aussi bien selon Carpooran que selon Baker & Hookoomsing, alors que Nallatamby, qui cite Chaudenson, parle pour sa part de moroungeille, qui n’en est peut-être qu’une graphie francisée). Cependant l’article de Wikipédia consacré à la plante évoque plutôt d’une origine malayalam pour le nom scientifique moringa, le nom kéralais étant semble-t-il muringa.
“Malaye” à la Réunion pour parler du ‘noni’ ? Je connais le mot surtout en relation avec la crème (ou la glace) appelée kulfi malay, malay étant alors le mot hindi pour parler de la crème du lait, mais aussi pour signifier “problème, maldonne”, comme dans “ena malay ladan”, ce qui signifierait que dans la chose en question — programme, plan, lettre, calculs, etc. — il y a quelque chose de pas net, une maldonne, des problèmes en perspective, etc. Ce sens ne figure cependant ni chez Carpooran, ni chez Baker & Hookoomsing, ces derniers ayant une acception de moins que Carpooran, lequel parle aussi à ce sujet de “Chinois métissé” (je n’ai pour ma part jamais entendu cette expression).
Zippo, j’avais pensé à des papayes aussi, mais d’une part la taille ne correspondait pas vraiment, et puis les papayes ont rarement une extrémité aussi pointue du côté du cordon ombilical. (Quand j’ai pris la photo ces fruits-là ne m’avaient pas particulièrement frappés. Ce n’est qu’après le “développement” — et l’affichage sur internet — que je me suis demandé ce qu’ils pouvaient être.) Dites-moi une chose : vous connaissez la variété de papaye qu’on appelle “solo” ? Si oui, vous savez d’où vient le nom ?
Je connais surtout “mouroum”, mais j’ai en tête un oncle au moins qui dit “mouroung”, laquelle doit être une prononciation plus ancienne car plus proche des mots dravidiens.
“Néverdier” ? Never heard of this before. Mais on trouve effectivement ce nom-là ici :
Cliquer pour accéder à moringa_mada_5dec10.pdf
Dans ce document il est question de plusieurs espèces de moringa, certaines faisant songer à des baobabs.
Même cheminement de pensée: ce p’tit bout pointu m’a fait hésiter aussi, mais sur la photo que j’ai proposée, on dirait que les petites papayes n’ont pas encore le bout arrondi (celle du milieu par exemple). Je reste curieux de connaître la réponse. 🙂
Papaye « solo » ? C’est toujours par deux, non ? ;-). Non, contrairement aux mangues ou aux bananes, je ne connais pas de variétés de papayes; je connais juste la papaye.
Pour le mouroung, dans son livre « Maurice à travers les plantes médicinales », Ameenah Fakim-Gurib dit que l’origne du mot peut être retracée à une langue tribale indonésienne, et
d’apès Bouton (selon « Le Mauricien ») le mot serait d’origine tamoule (on y retrouve la prononciation « mouroum »).
J’ai vu le nom « néverdier » dans Wiki; je pense que cette photo a été prise en France (d’après le prix en euros et l’auteur de la photo), mais ce n’est pas ce nom-là qui est utilisé. En revanche, il semble être utilisé sur les sites liés à la botanique ou à l’utilisation de cette plante.
Selon « Week-End », Zippo, pas « Le Mauricien » — dont la rédaction est séparée. Mais « Le Mauricien » ou « Week-End », l’article vaut son pesant de pistaches :
« Toujours d’après les secrets arrachés par Louis Bouton aux guérisseurs, “on sait que les graines de mouroungue donnent l’huile appelée huile de Ben qui a, dit-on, la propriété de ne point rancir en vieillissant”. Certains de nos aïeux nous apprennent que les graines des gousses du mouroungue sont effectives pour prolonger l’activité sexuelle chez les femmes (comme cela aurait été démontré à Agaléga) et chez les hommes, elles sont utilisées pour les ennuis de la prostate, de la vessie et pour traiter les dysfonctionnements érectiles. »
Que de vertus ! À mon humble avis, la forme du fruit de l’arbre, autrement dit le bâton mouroum, y est certainement pour quelque chose. Quoiqu’il en soit, je me demande ce qu’elles ont fait, les Agaléennes… 😳
Ameenah Fakim-Gurib dit que l’origine du mot peut être retracée à une langue tribale indonésienne
Le malgache par hasard ?
Oups, pas « Le Mauricien », yes, Week-End (bon, bon, ok).
J’imagine qu’elle a trouvé ses sources dans un document de botanique tel que celui-ci, car on y retouve les noms qu’elle cite comme « Maroengga (Amb., Tim.), Moroengei — Atjeh : Moerong —
op Java: Kèlor — Madoer: Marongghi — Bali « . Si j’en ai l’occasion, je lui demanderai :-).
En malayalam, c’est « mouriñga », en tamoul « mourouñgueï », ce qui a donné « moringa » en indo-portugais et « moringe » en indo-français. J’ai de gros doutes concernant une hypothétique origine indonésienne.
Quant à malaye, difficile de donner une étymologie précise. En tamoul, on dit « venounâ » (de velleï, blanc + nouna, selon Dupuis et Mousset). Le mot pourrait venir du malgache « lày » (poils sur les végétaux) –> malaye poilu à la Réunion.
Source : Dictionnaire étymologique du créole réunionnais, mots d’origine asiatique
J’aurais tendance à dire que c’est l’Indonésie — l’Inde insulaire — qui a subi l’influence de l’Inde continentale plutôt que le contraire, but who knows in the end?
Aucune chance que ce soit des papayes ni même des papayes solo !!! C’est un fruit qui est devenu rare chez nous…Le marchand m’avait donne son nom mais je l’ai oublie..A l’intérieur c’est orange et un peu comme dans un coeur de boeuf.. C’est succulent !