Votre Librairie Islamique
Stockist des livres islamiques
Jilbaab, kurta, attar, CD et DVD
autres items islamiques etc….
Horaires : lundi à vendredi, vendredi fermé de midi à 2.00 p.m
9.30 a.m – 12.30 p.m samedi : 9.30 a.m – 4.30 p.m
1.30 p.m – 4.30 p.m tel : 7133663
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Stockist ?
Thefreedictionary.com:
stockist
n. Chiefly British
A commercial retailer or wholesaler that stocks merchandise.
Pour rester au sein du français dans lequel est rédigée l’annonce, qu’aurait-on dû écrire ? “Grossiste” ? Ou, comme on le voit (encore ?) sur certaines boutiques mauriciennes, “demi-gros” ?
Obviously it should be stockiste.
Or stockeur ?
Si je comprends bien, ce libraire « stockiste » vend au détail des livres qu’il possède dans son stock ( pas besoin de passer commande : il a tout sur ses étagères). Ce n’est pas ce que nous appelons un « grossiste » qui, lui, ne vend pas au détail.
Que je sache, nous n’avons pas en français de France de mot pour traduire ce « stockiste » — sans doute parce que nos commerçants ont toujours tout en stock! 🙂
P.S « Stockiste »existe bien en français mais avec un sens bien précis qui ne correspond pas à votre mot.
Leveto, je n’ai pas pu vérifier comment ce libraire et vendeur d’articles divers vendait ses livres : il était fermé lorsque je suis passé devant son commerce. Mais s’il stocke des livres, peut-être pour fournir d’autres librairies qui pourraient avoir besoin de telle ou telle référence, alors il doit avoir de grands entrepôts, car les éditeurs sont généralement loin. À moins qu’il ne se limite qu’à un nombre restreint d’auteurs ou de catégories, ce qui serait plus vraisemblable.
À partir de quelle quantité d’ouvrages en stock pourrait-on commencer à parler de “stockiste” ? Dans la librairie où je traîne le plus souvent les pieds, ils ont bien une vingtaine de copies d’un certain nombre de titres, dans une sorte de couloir en principe interdit au public mais où je vais toujours fouiner car c’est là que le plus souvent je trouve des choses qui m’intéressent.
*items* ne me paraît pas non plus très « français »…
Mais il faut bien reconnaître que ce ne serait pas simple à traduire : « autres choses en rapport avec l’Islam » ?
Pourquoi ce mot ,*chose*, semble-t-il tout d’un coup si réducteur en français ?
Quant à « stockist »… Je déplore personnellement souvent le fait de ne pas trouver dans une librairie le livre que je cherche. La raison en est, le plus souvent, qu’il s’agit d’un livre « trop vieux » (entendez, paru depuis plus de cinq ans), ou « pas intéressant » (entendez, n’ayant pas fait l’objet d’une critique d’un… critique, dont c’est le métier).
Il n’existe pas, en France ou dans les librairies francophones, de « stocks de livres » dignes de ce nom. Chercher un titre précis nécessite donc de se tourner vers les « librairies spécialisées » (peut-être l’équivalent du « stockist » de votre photo), vers les bouquinistes, ou au contraire vers des « marchands de livres » purs et durs qui ne pratiquent pas de sélection éducative via les maisons d’édition et leurs distributeurs.
Rien à voir avec « Stokist », mais étant non-Islamique il m’est difficile à comprendre les heures d’ouvertures. La librairie en question est fermée le lundi à vendredi de 1230H a1330H. En supplément elle est fermée les vendredis de midi à 1400H. Faut-t-il comprendre qu’elle est fermée à double tours les vendredis de midi à 1230H? Est-elle ouverte les vendredis de 1330H a 1400H?
Aussi: pourquoi confondre les horaires anglophiles (c-a-d AM/PM) avec les horaires plus internationaux dans une inscription en Français ? Il faudrait considérer complètement refaire le signe avec plus d’attention pour éviter toutes confusion . . .
Aquinze, jamais je n’aurais pensé au mot item comme étant un candidat possible pour les mauricianismes. “Article” ? “point” (dans une liste qu’on énumère) ? Le TLF mentionne pourtant la chose :
Mais je suppose que le “vx” signifie “vieux”. Une fois de plus les Mauriciens feraient preuve d’archaïsme.
Quant au stockage des livres, j’imagine qu’il ne se pratique plus guère dans les sociétés de consommation : ce qui ne s’est pas vendu après un an ou deux va au pilon — ce qui est une hérésie.
Hervé, il m’avait échappé que l’enseigne donnait un message contradictoire pour ce qui est des heures d’ouverture le vendredi.
Quant à “a.m.” et “p.m.”, stricto sensu il s’agit de latin plus que d’anglais. Mais les anglophones aiment bien user du latin, en effet.
« Il n’existe pas, en France ou dans les librairies francophones, de « stocks de livres » dignes de ce nom. » écrivait Aquinze le 4 novembre 2013 à 17:09
Faut-il vous rappeler Le Bleuet de Banon, Aquinze ? J’en ai pourtant souvent parlé sur LSP!
J’ai la chance — et le bonheur — d’habiter à deux heures de voiture de cette librairie et m’y rends de temps en temps*. Le rayon de S.F. y est par exemple on ne peut plus complet. Et les livres de géographie, et les atlas! Et les poètes! Et la collection complète de la Pléiade exposée derrière le comptoir d’accueil …
Voilà une librairie qui mériterait bien le nom de « stockiste »!
* Ma compagne confisque alors ma carte bleue et m’alloue un budget âprement négocié, sinon…! Un site de vente en ligne a été créé récemment. À vous de voir.
Item (prononcé itème) ne s’emploie plus en français de France depuis belle lurette, sauf peut-être dans le vocabulaire spécialisé (linguistique ? informatique ? ).
On ne peut toutefois exclure un come-back sous l’influence anglophone.
« Le Bleuet » : oui, certes, il existe encore au moins une vraie librairie en France disposant d’un stock de livres, et c’est sans aucun doute un grand bonheur pour les amateurs des alentours. Mais s’il faut en passer par la vente en ligne, pourquoi commander au Bleuet (ou au Furet du Nord) plutôt que chez Amazon ? Par patriotisme ?
Leveto, j’espère que la somme qui vous est allouée est suffisante pour que vous puissiez vous faire un tant soit peu plaisir. Sinon il faudra songer au marché noir. Ou à la corruption.
Diriez-vous, vous aussi, que le mot “item” n’est pratiquement pas utilisé en France ? À Maurice on le retrouve fréquemment dans la presse d’expression française, ainsi que dans la bouche des gens lorsqu’ils parlent français (ou créole). Il est toutefois possible, et même probable, qu’il s’agisse d’une “contamination”
bactériologiqueanglaise, les personnes employant le mot ayant toutefois à l’esprit, d’une façon plus ou moins vague, que le mot existe en français.On trouve tout de même des exemples d’utilisation de ce mot dans des livres écrits en Europe en français ; mais, il est vrai, surtout dans les domaines de l’éducation, de la linguistique ou de la psychologie, et notamment dans des ouvrages canadiens — bien que pas toujours.
▪ http://books.google.fr/books?id=feM4a6kKtBwC&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q=items&f=false
▪ http://books.google.fr/books?id=pGOM41Z2w5oC&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q=item&f=false
▪ http://books.google.fr/books?hl=fr&id=PLjEYL7LwccC&q=item#v=snippet&q=item&f=false
▪ http://books.google.fr/books?hl=fr&id=KN7FK3zkp9YC&q=item#v=snippet&q=item&f=false
Cependant je soupçonne que dans la plupart des cas le mot item est employé dans un contexte particulier et avec une acceptation particulière. Voir par exemple ce jargon incompréhensible pour le profane (et, si ça se trouve, pour de nombreux non-profanes) : « couples comprenant une flèche reliant un sommet-item et un sommet-item et une flèche reliant un sommet-item et un sommet-individu ».
http://books.google.fr/books?hl=fr&id=hvMtAAAAYAAJ&focus=searchwithinvolume&q=item
Aquinze, pensez-vous qu’Amazon est à même de vous faire parvenir des livres qu’on ne trouve normalement pas dans les librairies ayant pignon sur rue ? Par exemple Le français à l’île Maurice de Nadia Desmarais, née Kousmichoff ?
Non, mais je viens d’en trouver deux exemplaires, l’un à Paris
http://www.abebooks.fr/servlet/BookDetailsPL?bi=10697235136&searchurl=an%3Dnadia%2Bdesmarais%26amp%3Bsts%3Dt%26amp%3Btn%3Dle%2Bfran%25E7ais%2B%25E0%2Bl%2527%25EEle%2Bmaurice%26amp%3Bx%3D0%26amp%3By%3D0
et l’autre à Montolieu (énième « village du livre »…)
http://www.abebooks.fr/servlet/BookDetailsPL?bi=6034616971&searchurl=an%3Dnadia%2Bdesmarais%26amp%3Bsts%3Dt%26amp%3Btn%3Dle%2Bfran%25E7ais%2B%25E0%2Bl%2527%25EEle%2Bmaurice%26amp%3Bx%3D67%26amp%3By%3D14
En réalité, je ne mets quasiment plus les pieds dans les librairies « normales » depuis plusieurs années, assuré que je suis d’y trouver partout la même sempiternelle sélection placée en évidence, éventuellement agrémentée des « coup de coeur des libraires » (c’est à dire une grosse douzaine, au mieux, des 1000 titres parus dans les six mois précédents), mais probablement pas le bouquin que je cherche. Bien sûr, on me propose de me le commander (« vous l’aurez dans 15 jours ») s’il est encore disponible chez l’éditeur. Mais dans ce cas, je peux le commander moi-même… ou le rechercher sur le net, avec une chance de succès avoisinant les 99,99% ! Et puis, je ne sais pas, j’ai perdu le goût de flâner dans les librairies – et d’y faire chauffer la Visa.
La Visa est une Citroën si j’ai bonne mémoire, non ? Pour la faire chauffer il faut hisser le choke.
Purée ! ça ne coûte pas deux cash ce petit livre de Nadia Desmarais ! Mais, manifestement, ça peut se trouver en ligne. AbeBooks.fr ? Comme Lincoln ? (Une autre voiture par ailleurs.) On se demande s’ils livrent sur d’autres planètes.