ABREGE DES DEVOIRS DE TOUT
CHRETIENS
Chrétien, souviens-toi que tu as un dieu
ta crée pour l’aimer, un jésus à
imiter. Son sang a t’appliqué. la Sainte
Vierge à honnorer. Les anges à
vénérer, les saints à intercéder, Ton
prochain à édifier, le monde à
mépriser, le temps à ménager,
L’éternité à méditer, ta conscience
à examiner. Des démons à
dompter, des passions à
calmer. Des pécher à expier,
des vertus à demander. Ton
corps à mortifier. Ton âme
à sauver, la mort souffrir.
le jugement a subir. le
châtiment à eviter.
Le ciel à mériter.
Ω
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Où as-tu été trouver cet endroit Siganus K ???
Trés intéressant ce petit sanctuaire. Est-ce qu’il est typique de la région?
Selon la première photo, je proposerais le Morne Brabant (le flanc de la montagne derrière semble bien vertical, mais l’herbe trop verte me fait douter) ?!?!?
Au moins, il sait utiliser les accents lui! Mea maxima culpa, enfin réparée par la découverte du clavier franco-canadien multilingue.
Dommage, il n’est pas tombé dans le « pêché », mais il l’a mis à l’infinitif.
Si je lis bien sous la peinture blanche, l’auteur a eu un repentir, il a ré-écrit plus petit pour laisser la place à d’autres résolutions….?
Ces photos ont été prises au pied du Mont Saint-Pierre (la montagne qui, vue du Trou aux Cerfs, se trouve à gauche du Corps de Garde et peut ressembler à une chauve-souris).
Je dirais que d’une certaine manière c’est assez typique (y compris à la Réunion, où on trouve force lieux consacrés au culte de Saint-Expédit). On trouve finalement beaucoup de grottes et de kalimayes à travers l’île. Mais ce “sanctuaire”-là semble devoir être placé dans une catégorie supérieure. Ce n’est pas une petite grotte ordinaire. La dernière photo — celle où l’on voit un candélabre — montre un véritable bâtiment, bâtiment qui semble tenir debout de façon quasi miraculeuse tant la structure est faite n’importe comment. (Gageons qu’il n’a pas été nécessaire d’obtenir un permis de construire pour bâtir cela.)
En effet, Zerbinette, il y a eu une couche de peinture blanche appliquée sur un texte plus ancien. Sans doute faut-il rafraîchir l’abrégé de temps en temps. Voire même de l’abréger, ce qui explique la place restant au bas.
Certaines phrases sont bizarrement construites. Par exemple “chrétien, souviens-toi que tu as (…) les saints à intercéder” ou “chrétien, souviens-toi que tu as (…) la mort souffrir”. On a l’impression que ceux qui ont recopié le texte l’ont fait en commettant des erreurs de réécriture, mais surtout qu’ils ne comprenaient pas bien ce qu’ils écrivaient. (Par contre “édifier son prochain” est correct : “Porter à la vertu, à la piété, par l’exemple ou la parole. Édifier le prochain. Anton. scandaliser.” – TLF.) Si au moins c’était du latin, on aurait compris… Il a en va sans doute de même pour nombre de langues liturgiques correspondant mal à la langue quotidienne des fidèles. Le sanskrit ou le latin sont tombés en désuétude, l’arabe classique est encore compris par pas mal de personnes, y compris en Tunisie, mais il ne correspond plus guère à la réalité des langues arabes parlées dans le monde, et on peut se demander qui aujourd’hui parle vraiment syriaque à la maison. Il en résulte un déphasage entre le message religieux et la capacité de compréhension des fidèles, ce qui a parfois un effet comique. L’hébreu, langue liturgique devenue langue morte avant d’être réutilisée dans la vie ordinaire, est une exception.
>Siganus K. Sutor
À propos de rafraîchir, l’idée de Jean XXIII d’ « aggiornamento » il me semble qu’est un peu morte. La semaine dernière, un célèbre écrivain espagnol a écrit « Su Antigüedad Benedicto XVI » (son Antiquité…) ; même ma femme, catholique, a rigolé.
Quant à Saint-Expédit dont l’histoire n’était pas connue par moi, j’ai lu le lien que vous avez donné : un soldat romain, comme Martin de Tours. J’avais toujours pensé au prènom, en espagnol aussi un adjectif ; pourtant il semble que ce nom est grec.
Moi non plus, je ne connaissais pas Saint-Expédit. C’est sûrement une adaptation d’un mot latin (expeditus, le participe passé du verbe expedire « envoyer, expédier »), Ce mot latin utilisé comme nom de personne pourrait être une traduction littérale d’un mot grec, mais pourquoi l’aurait-on traduit?
Saint-Expédit, c’est celui que l’on invoque pour que les « snail-mails » arrivent ?
>Marie-lucie
J’ai trouvé que la signification en grec est «qui est ingénieux (ou spirituel ?) », mais je n’ai pas trouvé le mot. L’idée du mot « spedito » sur la boîte des reliques est niée par quelques-uns qui parlent de cette anecdote du s. XIX alors que le saint était vénéré en Allemagne et Sicile depuis le s. XVIII.
>Zerbinette
Ne conduisez pas au chômage l’archange Gabriel.
Certes, pour vous : la fête des profs, S. Thomas d’Aquin, est demain.
Je connais bien Saint Expédit depuis que je me suis mis à lire les BD de Tiburce, petit héros Réunionais, car sa grand mère passe son temps à brûler des cierges et à demander à St Expédit de faire du mal à quelqu’un.
Ayant vécu à Mont-Roches, tout près du Corps de Garde, pendant un bout de temps je n’ai jamais su que cet endroit particulier existait. Ceci dit, je ne connaissais que le versant faisant face à Albion.
La dernière photo me fait (très) peur: qui lui a donné le permis de construire cette… euh… « chose »?
Torpedo, je pensais à vous en prenant cette photo-là. Je me disais alors “Qu’est-ce qu’il va en dire, Torpedo ?”
Ça fait encore plus peur de le voir en vrai.
La dalle avait été coffrée par endroit avec de la tôle ondulée, tôle laissée en place et rouillant à qui mieux-mieux. Les aciers étaient apparents en plusieurs endroits. Comme on peut le voir sur la photo, les colonnes comportent de jolis carias. Quant à l’espèce de pyramide dans la toiture, on se demande comment elle tient.
De mon côté, je ne l’ai pas vu, mais j’ai entendu un enseignant (lors d’un cours de catéchisme sur la superstition) raconter avoir vu des « panneaux gravés » dans une grotte avec le message « Merci St Expédit d’avoir expédié Untel ».
Ma soeur me racontait à l’instant que pendant toute son enfance, elle avait entendu les nénennes (pas trouvé dans le dico) discuter entre elles que si elles voulaient ou souhaitaient « envoye quiquène manzé » alors elles priaient St Expédit pour « expéditer ce quiquène » dans l’au-delà!!
Saint-Expédit, c’est celui que l’on invoque pour que les « snail-mails » arrivent ?
Vous ne croyez pas si bien dire, Zerbinette. J’avais lu quelque chose, il y a longtemps, à propos du nom “Saint Expédit”. Certains voyaient dans cette appellation l’abréviation Expédit. utilisée pour Expéditeur. Si je me souviens bien de l’histoire, des personnes de bonne volontés auraient envoyé des colis postaux aux pauvres nécessiteux des tropiques, et ces derniers en auraient pris l’habitude d’invoquer cet “Expédit.” si bien intentionné à leur égard. Cela sent l’invention à plein nez, un peu comme, disait-on, ces Africains censés se prénommer “Fetnat” ou ces Rodriguais censés se prénommer “Jean Margéot Évêque de Port-Louis”…
C’est pas que « censé ». Un collègue africain m’a appris l’origine du prénom de Bokassa, à savoir, Jean Bedel. Je devoile tout de suite ou je vous laisse deviner ? Disons que ça a quelque chose à voir avec le cousin de Jesus, plus exactement avec le saint patron des profs.
Gro Zippo : les nénennes (pas trouvé dans le dico)
Si, si, elles y sont bien : « Nénène — Bonne d’enfants. »
https://mauricianismes.wordpress.com/la-ma-liste-de-mauricianismes/
Ah merci, recherché sans accent : »)
Un mot que nous partageons avec les Bourbonnais, et un mot qui figure dans leur hymne national.
Je pensais que chez eux ça voulait dire la copine (amoureuse, ou pièce à Maurice, ou plus vulgairement bougresse) car je connais ce mot à travers l’un des plus « célèbres » jurons « To….. ton nénène ». Mais c’est vrai que ça peut coller avec un juron envers la mère ou celle qui la remplace. 2 ans de mauvaise utilisation !!!
Siganus, à tout prendre Expédit, ce n’est pas pire comme prénom que certains autres du calendrier comme Noël, Asuncion, Toussaint ou Victoire ! 😉
Jesús, mais je crois bien qu’il est au chômage Gabriel, car je ne l’ai pas vu depuis longtemps….
Et Expédit est aussi mon saint patron :
@Siganus: je pense qu’il y a double confusion. Un ami réunionnais me confirme que « nénène » est bien la bonne d’enfant ou l’employée de maison comme à Maurice (et c’est bien celle-là qui est dans le juron), mais que la « nénère » de la chanson est bien la chérie (je me souviens aussi du « train »). Il existe un plus vieux mot qui est « zézère ».
Zippo, si je vous suis bien, dans la version originelle de Ti fleur fanée il y aurait eu un “nénère” qui se serait ultérieurement transformé en “nénène” ? Si c’est confirmé, ça serait assez rigolo.
Il est vrai que le mot “nénène” peut (pouvait ?) se référer à la femme de ménage, à la Réunion plus qu’à Maurice ai-je l’impression, mais je pense que le sens premier est celui de nounou, de nanny, i.e. celle qui s’occupe des enfants.
A ce sujet j’ai connu un Franco-Mauricien d’une famille bourgeoise, qui de l’avis de bien des gens avait un parler des plus français (c’est-à-dire, en d’autres mots, qui avait un accent et un vocabulaire relativement peu “typés mauriciens”) et qui petit, ayant été principalement élevé par des nénènes, ne parlait que créole — ce que certains ne pouvaient croire.
Zerbinette : à tout prendre Expédit, ce n’est pas pire comme prénom que certains autres du calendrier comme Noël, Asuncion, Toussaint ou Victoire !
Existerait-il des gens s’appelant Pâques, Pentecôte ou Assomption — voire Mercredi des Cendres ?
Sinon, d’ou tirez-vous votre petite prière à Saint-Expédit ?
Pépé : Ceci dit, je ne connaissais que le versant faisant face à Albion.
Ce “complexe”-là se trouve de l’autre côté.
Oups j’ai dit ça moi ? Pourtant j’avais pas encore servi le punch. J’ai cliqué sur votre lien et j’ai lu:
« Vi souviens mon Nénère adorée »
Ayant un doute sur mon acception du mot « nénène » (que je pensais être la copine) et me remettant systématiquement en cause quand il y a désaccord (déformation professionnelle ou esprit tordu?), je suis allé me renseigner auprès d’un ami réunionnais. Il ne m’a pas parlé de glissement mais de 2 termes distincts: « nénène » pour la bonne (vous avez raison) et « Nénère » pour la chérie (le lien de l’hymne que vous donnez contient ce mot qui ne colle pas avec la définition du mot commun avec nos voisins).
Je comprends bien que le jeune enfant n’avait pas une nénère à son âge (à moinss li ti enn mari tchiak), mais une nénène. 🙂
Ah ben oui, Zippo, vous avez raison : sur la page vers laquelle je renvoyais hier à 22:45 on peut effectivement lire “Vi souviens mon Nénère adorée”. Étant persuadé qu’il s’agissait de la nénène adorée, je n’avais même pas vu que le mot était autre. Il existe pourtant un certain nombre d’occurrences pour la “nénène adorée” (cliquer sur le lien donné dans le commentaire de 23:29.)
On peut aussi imaginer que petit l’auteur de la réunionissime chanson ait eu une nénène qu’il chérissait. D’évoquer sa “nénène adorée”, dans une chanson somme toute très nostalgique, pouvait renvoyer au temps béni de l’enfance. (Je me souviens encore pour ma part d’avoir eu une fois la langue qui a fourché au primaire et d’avoir appelé la miss “maman”, à ma grande honte, ce qui avait provoqué une certaine hilarité dans la classe.)
Pas de doute sur l’amour de sa nénène. Tous ceux qui ont connu cela en gardent un souvenir touchant. Comment oublier ma vieille « gramère Yaya » qui m’appelait son « souka », et qui a dû maintes fois me chanter « la rivierr tanier ». Je mourrai frustré de ne jamais savoir ce que veut dire « souka ». J’espère au moins que c’était laudatif et non pas « enn minante » ou « enn tilapli ». Ce serait pas étonnant d’ailleurs, oups, un grand doute vient de naître. Diantre ! (ek mo gro laguel)
Ce nouveau lien de 23:29 a le mérite de m’avoir fait lever l’ambiguïté sur le sens que je portais au mot réunionnais. Wow, le juron est encore plus violent.
Peut-être connaissez-vous le livre du photographe Yves Pitchen intitulé “Mauriciens”. Il existe là-dedans quelques photos de nénènes qui sont assez évocatrices, dont celle que l’auteur a choisi pour mettre sur la couverture et qui montre la relation particulière pouvant exister entre une enfant et sa nénène. (Voir scan ici.)
Toujours à propos de “nénènes” — je me demande s’il ne faudrait pas changer le titre de cette note-ci —, je pense au deuxième enfant d’un couple d’amis qui, le matin, appelait “Bibi” plutôt que “maman”, au grand dam de cette dernière.
Zippo, matlo, fini dimans astèr. Inn ariv lèr pou zété…
Seryé, vraiméme do, kott mwa bonnerr ankor.
Mo santt « la riverr tannier pou ou « ? ha ha
Bonne nuit
Sig, il y a bien eu un prénom Pentecote jusqu’en 1840 si j’en crois GeneaNet (et je suppose qu’il s’agit de la France), parce qu’il y a eu aussi des Pentecost, un prénom Assomption (mais qui semble un peu délaissé à l’heure actuelle : « Age moyen des personnes portant le prénom Assomption : 86 ans. Pic du siècle du prénom Assomption : 1913 ». (Jesús nous en trouverait peut-être encore en Espagne).
Pour Pâques, cela a été transformé en Pascal (e), pour les Rameaux en Osanna, et pour les Cendres en Cendrine…. d’après Sainte Wiki : « L’origine du prénom fin XVIIIème, début XIXe siècle, ce prénom a été donné aux filles nées le jour du mercredi des Cendres dans le calendrier catholique ou chrétien. »
Et c’est aussi Sainte Wiki qui m’a fourni la prière à Saint Expédit mais vous pouvez en trouver des variantes.
pour les Cendres en Cendrine….
Et les Sandrine, elles ont été nommées ainsi en rapport à quelle fête ?
“Osanna”, voilà un prénom qui m’irait bien. Siganus Osanna Sutor, SOS.
SOS, en principe Osanna c’est pour les filles ! Mais on a bien vu qu’entre les Ange et Marie, il ne fallait pas être trop regardant sur le « genre ». D’ailleurs SKS, c’est quoi à part « une carabine semi-automatique soviétique » ? Siganus King Sutor ?
Sandrine vient d’Alexandre.
Ah, on commence à entrer dans les méandres des prénoms. Le seul prénom que je connaissais venant de cendres était Cendrillon (cendres+souillon) mais Cendrine… jamais vu écrit de cette manière.
Comme on y est, n’oubliez pas de me souhaiter ma fête le 18 avril. Merci 🙂 .
Le 18 avril c’est la Saint-Pépé ou la Saint-Beagle ? 😉
>Gro Zippo
Par hasard, la semaine dernière j’ai lu* que le mot « bedel » est tiré du latin « bidellus »**, messager, donc comme l’archange Gabriel. Pourtant notre dico dit qu’il s’agit du provençal « bedel », pris du franc « bidil » (huissier).
P.S. Je n’ai pas compris la piste du cousin (Jean-Baptiste ?) et le patron des profs. Glubs ! Je viens de lire que, pour vous, le patron des profs est s. Jean-Baptiste, mais de la Salle, un curé français !
* Dans un livre du s. XIII.
**Pas trouvé dans mon dico de latin.
>Zerbinette
Par exemple, Asunción était le prénom d’une des grand-mères de ma femme. Chez nous ce prénom est aussi un peu délaissé aujourd’hui.
Il y a un tas d’églises anciennes (avant le dogme) dédiées à cette vierge.
Cendrillon (cendres+souillon)
Je ne crois pas. Cendre, oui, mais -ille et -on sont tous les deux des suffixes diminutifs.
Bedel: c’est donc une forme ancienne de bedeau. En anglais il y a beadle qui a le même sens mais qui ne vient probablement pas du mot français, il s’agit plutôt de deux mots qui ont la même origine germanique (le latin bidellus – s’il existe vraiment – serait donc une latinisation d’un mot germanique, plutôt qu’un mot vraiment latin).
J’avais des doutes comme Siganus sur les histoires qui circulent en France à propos des prénoms tels que FetNat ou Assomp choisis sur un calendrier par des Africains. J’ai donc demandé à un collègue africain si c’était vrai car je trouvais ça gros. Il m’a affirmé que le prénom de Bokassa viendrait de « St Jean Baptiste de La Salle », qui pour des raisons de longueur serait apparu comme « Jean B.deL. » sur un calendrier. Ce qui fait me douter de la véracité de cela, c’est que la fête du saint patron des enseignants (qui porte le prénom du cousin de Jésus, St Jean Baptiste) est le 7 avril, ne coïncide pas avec la date de naissance de Bokassa, c.a.d., le 22 février. Ce n’était pas le saint du jour de sa naissance. La disparition du S correspondant à « Salle » dans le prénom m’interpelle aussi; ça aurait dû être « Bedels ».
Si c’est faux et que mon pote africain a raconté ceci à plusieurs français qui ont gobé l’histoire, c’est une juste revanche.
Pour moi, le doute subsiste, surtout que le prénom semble s’expliquer autrement, tel que le décrivent Jesús et Marie-Luce.
Jesús, heureusement qu’il y avait Saint-Thomas d’Aquin pour assurer l’intérim, car Saint-Jean-Baptiste de la Salle n’a été nommé « patron » des enseignants qu’en 1950 par Pie XII !
Quand on fait quelques recherches en généalogie et que l’on voit tout ce qui peut arriver à un nom sur un acte de naissance, on ne s’étonne plus de rien.
Fetnat me semble avéré et pas seulement dans les pays francophones :
« en Chine le prénom Guoqing, qui se traduit en français par « fête nationale », est porté par plusieurs centaines de milliers de Chinois. »
The English name Cinderella is normally understood as cinder + Ella, and indeed American and British children are told that she was called Ella (a diminutive of Helena) by her mother and that Cinderella was a derogatory nickname given by the stepmother and her daughters. Historically, though, this is probably just folk etymology from Cendrillon.
In German the girl’s name is Aschenputtel, where the first part is transparently ‘ash, cinder’. I do not know exactly what puttel means, but the -el is certainly a diminutive. My mother’s cousin (who died in childhood, and whose proper name I do not know) was always called Putti, with another diminutive ending.
@ zerbinette, c’est la Saint Parfait 😀 .
Gros Zppo, s’il vous plaît, il y a un deuxième i dans mon nom.
Pardon, j’étais trop concentré à essayer de trouver le « ú » pour bien écrire « Jesús », malgré toutes les fontes que j’ai pu installer que j’en ai perdu votre second « i » . J’essaye de faire attention pour l’un et du coup, je plante pour l’autre, too bad. Un bon copier-coller aurait évité cela.
Etait-ce de l’humour ce cln d’oel en écrvant Zppo? Je l’magne.
J’y étais aujourd’hui. Cet endroit est bizarre.
Oui, drôle de place, n’est-ce pas ? L’endroit est superbe, notamment à cause du relief et de cette montagne qui surplombe le site, mais en même temps on ne peut s’empêcher de se demander quel genre de cérémonies s’y déroulent. Ça fait un tantinet froid dans le dos.